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Réseaux sociaux et estime de soi

Approximations

Cette chapitre comporte de nombreuses approximations sur la psychologie. Ces points sont donc à prendre avec recul et scepticisme. Pour des informations plus précises et plus fiables, adressez-vous à un spécialiste de la psychologie ou de la médecine.

Aussi, l'analyse présentée ici est très caricaturale, il se peut que votre ressenti ou votre situation soient différents.

Certains points ne sont pas exclusifs à l'adolescence, et le questionnement social continue bien sûr à l'âge adulte !

Adolescence et positionnement social

Si vous êtes élève de SNT, il y a de grande chance que vous soyez un adolescent. C'est grosso modo une période qui va de 10 à 19 ans1, qui est le passage de l'enfance vers l'age adulte.

De nombreuses transformations physiques et psychologiques ont lieu pendant l'adolescence. C'est, entre autres, une période où l'on commence à prendre conscience que l'on est un individu dans une société2, et où l'on cherche à se créer une identité à travers les autres, et on s'interroge sur notre place dans la société.

On veut être reconnu par la société, où plutôt par les membres de la société, en particulier les groupes qui correspondent à nos idéaux. Par exemple, un skater cherche à avoir l'approbation sociale d'autres skaters, c'est à dire à ce que les autres skaters le reconnaissent comme légitime à se définir comme skater, le complimentent sur sa maîtrise de sa planche etc...

Les jeux de séduction font bien entendu partie de la reconnaissance sociale, tout comme un certain besoin d'originalité, d'être différent, remarqué.

Dans ce processus, il est fréquent que l'on se compare aux autres, consciemment ou inconsciemment, pour s'évaluer et se positionner dans la société.

  • Est-ce que je suis fort(e) en escalade ?
  • Est-ce que je plais aux autres ?
  • Quelles sont mes capacités en skate ?
  • A l'école, je m'en sors bien ?

Se comparer aux autres n'est pas fondamentalement une mauvaise chose, mais le faire sans précautions peut parfois avoir des effets délétères sur notre moral.

Voici une citation d'Albert Jacquard3, qui différencie compétition et émulation :

Ce qu'il faut bien sûr, c'est avoir un moteur en soi, mais le moteur en soi, il n'est pas de vaincre contre l'autre, mais il est de vaincre contre soi. Et ça ça s'appelle non plus la compétition, mais l'émulation.

Oui, il faut que je me compare à l'autre pour m'apercevoir que l'autre est meilleur que moi, et que par conséquent, je peux faire des progrès. Mais ces progrès n'ont pas pour but de passer devant lui, ils ont pour but de faire que je devienne meilleur que moi.

Quand je cours, je n'ai pas a courir plus vite que Carl Lewis4, j'ai à courir plus vite qu'Albert Jacquard. Et c'est d'ailleurs beaucoup plus facile vous me direz.5 Mais c'est ça que je dois avoir comme objectif. Et bien il faut que dès l'entrée dans les écoles on explique aux enfants qu'ils ne sont pas là pour être meilleurs que les autres mais pour utiliser au maximum le potentiel extraordinaire qu'il y a en eux.

Idées d'estime de soi et de confiance en soi

On a tous un avis sur nos propres qualités et défauts.

  • "Je suis vraiment bon en maths."
  • "J'ai parfois du mal rester calme en cours."
  • "Je crée souvent le malaise."
  • "Je suis plutôt mince."

Les qualités et défauts sont relatives à la personne. Ainsi, pour un grimpeur, être mince est un trait plutôt important, puisque le sport nécessite de soulever le poids de son corps, et donc d'avoir un rapport poids/puissance faible. Mais pour quelqu'un qui ne pratique pas de sport, ou qui pratique un sport ne nécessitant pas de soulever le poids de son corps, être mince peut sembler futile. Voir même, dans certains cas, comme le rugby ou le sumo, être mince est parfois considéré comme un défaut.

TODO(prof) mieux expliquer les deux points ci dessous

La confiance en soi est la capacité à faire des choses en général que l'on estime avoir. Celà peut-être étendu à des tâches particulières. Par exemple, si on est persuadé d'être capable de s'adapter à toute situation, on a confiance en nous. Au contraire, si on a l'impression que toute situation va nous échapper, alors on a pas du tout confiance en nous.

L'estime de soi est la valeur qu'on s'attribue, en tant qu'individu. C'est une histoire de morale. En gros, l'estime que l'on a de nous même dépends de si nous agissons et recevons de la reconnaissance sociale en adéquation avec nos idéaux. Par exemple, si on se considère comme féministe (au sens large, c'est à dire en faveur de l'égalité femme-homme) mais que l'on apprends avoir agit inconsciemment de manière sexiste, il est fort probable que l'estime que l'on a de nous même baisse.

Ces deux points sont des aspects importants du bien-être mental. (Parfois, dans le langage courant, on parle d'insécurités).

Un manque de confiance en soi peut être handicapant et influencer les performances d'un individu. Si on pense a priori qu'on a de grande chance d'échouer ou de sous-performer, celà augmente nos risques de sous performer67.

Un manque d'estime de soi nous rends plus vulnérable et plus facilement influençable. Dans le pire des cas, celà peut conduire à la dépression.

Les réseaux sociaux, où chacun affiche une partie de sa vie, sont propices aux comparaisons avec d'autres individus. Mais pour que ces comparaisons soient un terreau d'émulation, encore faut-il que ce qui est comparé soit vrai et exacte.

Et malheureusement, se baser sur les réseaux sociaux pour se comparer aux autres est source d'erreur et de biais.

Quelques photos de fitness

Pour se rendre compte d'à quel point un contenu sur les réseaux peut-être éloigné de la réalité, voyons un peu quelques techniques8 qui peuvent êtres mises en place pour améliorer l'esthétique du sujet d'une photo (la personne ou l'objet que l'on photographie).

On se placera ici dans un cadre de photos fitness, visant donc à faire ressortir les attributs (muscles, courbes, ...) du corps d'une personne. Ce genre de photos est très présente sur les réseaux comme Instagram, ou encore sur des applications de rencontre comme Tinder.

Pour coller à l'idée dynamique du fitness, ces techniques sont présentées sous forme d'un top 8 de conseils pour modifier son apparence sur une photo.

TODO (prof) ajouter des illustrations et exemples à chaque point TODO (prof) détailler le top

Conseil 8 : faites appel à un professionnel

Bien entendu, un photographe pro sera le plus compétent pour vous prendre sous votre meilleur jour.

Conseil 7 : Le bon matériel

Avoir un appareil photo et un objectif de bonne qualité, avec un trépied, des luminaires etc, peut énormément aider à prendre de bonnes photos.

Mais de nos jours, même les smartphones font de belles photos.

Conseil 6 : utilisez le mode timelapse ou délais

Le mode timelapse d'un appareil permet de prendre des photos à interval régulier, par exemple toutes les 10 secondes. C'est pratique pour mieux prendre le temps de poser, sans avoir à galérer.

Préférez prendre une série de 30 photos de moyenns plutôt que galérer à prendre une seule photo de parfait.

Conseil 5 : Positionnez bien votre appareil

Prendre la photo en plongée (appareil plus haut que vous, avec l'objectif pointé un peu vers le bas) permet de faire des épaules plus carrées et une taille plus fine. C'est un jeu de perspective.

Un appareil posé sur pied permet d'augmenter la qualité des photos.

Conseil 4 : Utilisez la lumière et les couleurs

Ce sont les ombres qui font ressortir les reliefs. Il faut donc essayer de générer des ombres. Cette illustration et cette autre illustration par chaosbringer99 sur DevianArt montrent un exemple de comment les ombres aident à faire percevoir des reliefs et des formes.

Corps masculins par chaosbringer99

Corps feminins par chaosbringer99

Essayez une lumière plongeante, arrivant légèrement de coté, et pas "diffuse" : seul le sujet est éclairé. Une lampe de bureau fait en général bien l'affaire.

La couleur des vêtements peut aussi jouer : les vêtements sombres rendent les ombres moins visibles, et donc atténuent les formes qui sont en dessous, tout en mettant en valeur les formes à l'extérieur. C'est l'inverse pour des vêtements clairs.

Conseil 3 : Travaillez votre pose !

  • Contractez vos muscles, rentrez le ventre, gonflez les épaules, cambrez le dos, ...
  • Dynamisez votre posture, ayez l'impression de "faire quelquechose". La photo semblera plus naturelle, plus vivante.

Celà demande pas mal d'entraînement.

Conseil 2 : Congestionnez et digérez

Pour paraître plus musclé : faire du sport avant et/ou pendant la séance photo. L'effort fait gonfler les muscles.

Pour paraître fin : prenez vos photos avant de manger, et après être allé au toilettes.

Conseil 1 : utilisez des filtres ou de la retouche

Les applications de photos numérique permettent en général de facilement modifier la photo pour mettre en valeur les muscles par des contrastes, ou encore effacer les boutons et imperfections de la peau.

La retouche fait partie intégrante de l'art qu'est la photographie ! Certains photographes prévoient leur composition (arrangement de la scène, des paramètres de capture etc)

Le(s) biais

On vient de le voir, les contenus publiés sont travaillés et mis en scène pour faire naturel. On a déjà vu ça pour les photos, mais bien entendu ça ne se limite pas à ça. Et vu que les contenus font naturel, il est difficile d'estimer la quantité de retouche et d'"astuces" qui ont utilisées pour produire le contenu.

Les images que les individus que nous cotoyons se créent les réseaux sociaux sont donc rarement représentatifs des individus eux-mêmes, et correspondent plutôt à un idéal qu'ils veulent montrer. Dit d'une autre manière, sur les réseaux sociaux, les gens ont tendance à se créer un personnage, une facade. On ne publie pas tout, et tous les contenus ne prennent pas de l'importance.

  • Les utilisateurs ont tendance à publier des contenus montrant des succès plutôt que des échecs.
  • Les contenus "normaux" ont souvent peu de visibilité, alors que les contenus extraordinaires prennent plus facilement de l'ampleur.
  • Les contenus sont souvent travaillés en vue de les embellir.
  • Les contenus qui montrent des succès ne montre en général pas le travail préalable, ou d'autres facteurs, comme la chance, qui y ont abouti.
  • Les contenus sont rarement représentatifs de ceux qui les publient et ne montrent qu'une toute petite partie de leur vie et de leur identité.

Si l'on ne fait pas attention, on risque d'assimiler cette fausse réalité comme étant la réalité. Notre représentation du monde en devient biaisée. Une beauté sans faille, une forme physique extraordinaire, des exploits intellectuels inhumains nous apparaissent comme une norme, alors qu'ils sont une exception, voir une illusion. On a tôt fait d'évaluer notre propre valeur en nous comparant a cette image, et dans ce cas-là, difficile de se sentir bien dans sa peau.

Un des plus gros pièges des réseaux sociaux, c'est la quantité de contenu à laquelle on est exposé, et le fait qu'on a du mal à séparer ces contenus de la "vie réelle".

Exemple

Reprenons notre skater. On supposera, pour un estimation grossière, qu'il a un usage moyen de TikTok, soit 30 minutes par jour9, ou 200 minutes par semaine environ.

On peut supposer qu'il voit donc une cinquantaine de personnes, de niveaux très variés, faire du skate au skatepark chaque semaine.

Si on considère qu'une vidéo tiktok moyenne dure 15 secondes, et que 1 vidéo qu'il voit sur 5 est en rapport avec le skate, à la fin de la semaine, notre skater aura vu un total de 800 vidéos sur TikTok, dont 160 où des gens font des prouesses en skate. Or les tiktokers qui arrivent dans son fil y arrivent probablement parce qu'ils ont un niveau très élevé, qui le place en haut des recommendations.

Ainsi quand il essaie d'évaluer son niveau de skate pour en parler à son crush, notre skater a de grande chance d'essayer d'imaginer le niveau moyen des skaters qu'il a vu récemment, pour se positionner. Celà inclus la cinquante de personnes du skate park, mais aussi les 160 tiktokers, qui viennent "polluer" cette moyenne, la rendant bien plus élevée qu'elle ne devrait. Il aura alors tendance à sous-estimer ses capacités.

Les intéractions

Pour le moment, on n'a seulement abordé le rapport au contenu que l'on regarde. Or, les intéractions sur les réseaux sociaux peuvent aussi être une menace pour la confiance et l'estime de soi.

Quand on publie sur des réseaux sociaux, on expose en général un contenu artistique, dans le sens où l'on y a mis du sien. Dans notre contenu s'exprime notre personnalité, nos idéaux, et notre identité. On s'identifie à notre contenu.

Publier du contenu expose à des retours, qu'ils soient positifs ou négatifs. Ces retours, en particulier quand ils sont critiques, peuvent grandement influer sur notre confiance et notre estime, parce qu'ils attaquent notre moi numérique.

Exemple de retour positifs et négatifs

On va continuer sur le skate. Notre skater réalise une vidéo de lui en train de skater, où il enchaîne quelques figures (tricks) sur fond de sa musique préférée "NEFFEX x NEONI - Pinky Promise"10.

Sans être mauvaise, la vidéo n'est pas exceptionnelle pour autant : les figures sont basiques, le montage est amateur, et la qualité de la vidéo est loin d'être parfaite. Notre skater est tout de même fier de sa vidéo et il y a passé pas mal de temps.

Il publie sa vidéo et se couche.

Le lendemain au réveil, deux nouveaux commentaires sont là.

Le premier est positif.

Trop chouette ta vidéo, on voit que l'entraînement commence à payer, tu t'améliores, continue comme ça ! Hâte de voir la prochaine vidéo !

Le second est négatif.

La musique est bonne mais tu sais pas faire du skate, dommage. Les boneless et les ollies, c'est impressionnant quand tu as 8 ans, pas quand t'en as 15. Au moins tu as l'air de t'amuser, mais essaie pas de draguer avec ce... "freestyle", tu risques d'être déçu.

En fonction de qui a publié chacun des commentaires, et de l'approbation (likes, commentaires) qu'ils ont reçu, ils auront plus ou moins d'impact sur notre skater, et pourront le motiver, ou le démotiver, voir même le rendre insécure à un point qu'il n'ose plus faire du skate.

Les intéractions critiques et négatives, même si elles ne sont pas malveillantes, peuvent avoir un impact imprévu sur leurs destinataires. C'est parfois le cas pour l'insécurité linguistique11, c'est à dire quand quelqu'un n'a pas confiance en son ortographe et son expression (par exemple, c'est un étranger qui est venu étudier en France), ni en la bienveillance de ses interlocuteurs.

Exemple lié à l'insécurité linguistique

Sous une vidéo qui parle d'informatique et d'écologie, un étudiant étranger venu en France pour sa licence en informatique poste un commentaire pour faire une critique légitime du propos de la vidéo :

La nossivité du numérique pour l'environement et exagéré je pense, mem si un appel vidéo a un impact important, il faut le comparer au autres alternative, comme la voiture pour un meeting

Un internaute pense bien faire en corrigeant ses fautes:

La noCivité du numérique pour l'enviroNnement eSt exagéréE je pense, mêmE si un appel vidéo a un impact important, il faut le comparer aux autres alternatives, comme la voiture pour un meeting.

Même si tel commentaire peut être bienveillant et vouloir aider l'étudiant à progresser en français, il peut être pris comme une moquerie, étant donné qu'il est complètement hors du sujet. Si cet étudiant a des difficultés en français, il risque d'avoir moins envie de s'exprimer en français, et donc de progresser au final moins vite.

Ce genre de quiproquo est particulièrement fréquent sur les réseaux sociaux, parce que la forte connection entre les communautés fait que nous interagissons tous les jours avec des gens dont nous ignorons totalement le passé et la culture. Il appartient donc d'être prudents quand nous postons des réponses ou du contenu, pour éviter de blesser inutilement des gens par manque de compréhension. Il faut aussi essayer aussi de prendre du recul sur les intéractions que nous avons. Nous verrons dans quelques chapitres une étiquette pour essayer de minimiser les risques.

Parfois, des intéractions négatives sont faites avec l'intention de nuire, où ont des conséquences graves sur la santé physique ou mentale de leur destinataires. Ces cas là relèvent de la cyberviolence, et parfois plus précisément. C'est l'objet du prochain chapitre.

Se protéger et réagir

TODO (prof) améliorer cette section !!!

En cours

Cette section est en cours de précision et de vérification. Il est donc nécessaire de la lire avec recul et scepticisme !

Le réseaux sociaux ne sont bien entendu pas la seule cause possible de mal-être, mais ils peuvent être un déclencheur ou un facteur aggravant.

En cas de mal-être quand vous visitez les réseaux sociaux, voilà quelques gestes qui peuvent vous aider :

  • Réduisez votre usage, ou déconnectez-vous un temps, des réseaux qui vous mettent mal, coupez les notifications, désinstallez les applications, ...
  • Ne restez pas seul face au problème, cherchez de l'aide auprès de vos amis et si possible d'un adulte, comme par exemple le personnel de santé scolaire.
  • Si votre estime ou votre confiance en vous baissent fortement ou sont déjà basses, n'hésitez pas à consulter un psychologue ou un psychiatre. La consultation d'un psychologue on d'un psychiatre ne fait pas de vous un "fou" ou une "folle". C'est un geste parfaitement normal, même pour des personnes en parfaite santé mentale.

En prévention, on peut :

  • Avoir une hygiène de vie (nutrition, activité physique, sommeil) qui aide le bien être.
  • Travailler sur sa confiance et son estime d'une manière générale, surtout si elles sont basses, eventuellement avec l'aide d'un psychologue ou d'un psychiatre.
  • S'entraîner à déconnecter des réseaux sociaux, par exemple, une fois par mois passer 3-4 jours sans se connecter, pour avoir plus de facilité à deconnecter ensuite.
  • Avoir plusieurs réseaux sociaux, et en particulier garder plusieurs moyens de communication avec ses proches, pour pouvoir déconnecter sans perdre le contact.
  • Maintenir un journal privé qui retrace les faits positifs majeurs de votre vie : vos aptitudes et réalisations, ce que vous aimez chez vous,... Pour pouvoir revenir dessus et essayer de reprendre confiance ou estime en cas de doute.

  1. https://www.who.int/fr/health-topics/adolescent-health#tab=tab_1 

  2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychologie_de_l%27adolescent#Pens%C3%A9e_%C3%A9gocentrique 

  3. https://www.youtube.com/watch?v=_tru7cOEle4&t=1071s 

  4. Athlète américain qui a remporté, entre autres, dix médailles olympiques dont neuf en or. https://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Lewis

  5. Celà fait bel et bien partie de la citation. 

  6. Cette vidéo de horizon gull https://youtu.be/ALAuI5JLsYs?t=414 présente comment des stéréotypes sexistes peuvent influencer les performances d'un individu en fonction de son genre. (lien vers l'article associé : https://www.hacking-social.com/2018/09/24/xp-horizon-9-les-filles-sont-elles-vraiment-nulles-en-math/

  7. Cette vidéo de France Info https://www.youtube.com/watch?v=CkmrNtB3L8o présente comment des stéréotypes sexistes peuvent influencer les performances d'un individu en fonction de son genre. 

  8. Beaucoup de ces techniques sont illustrées sur ce site : https://nattyfitness.fr/devenir-muscle-en-10-minutes/#:~:text=2 

  9. https://www.statista.com/statistics/1115136/tiktok-user-engagement-monthly-usa/#:~:text=From%20October%202019%20to%20March,on%20the%20social%20video%20platform. Remarque : ces chiffres peuvent être biaisés par le COVID. 

  10. https://www.youtube.com/watch?v=PpVi8RduUUk, que j'ai choisi parce qu'elle probablement bien plus une vidéo de skate posée, et surtout parce qu'elle est libre de droits :D 

  11. Jean-Pierre Sautot a publié une réflexion intéressante au sujet de l'insécurité linguistique. Attention, c'est ironiquement un document plutôt difficile à lire--' https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01269752/document